Peintures intérieures
En peintures intérieures de parties communes, la comparaison reste relativement aisée. Sur des murs normalement dégradés, la plupart des devis proposent de purger les parties dégradées, de passer un nombre variable de couches d’enduits en fonction du degré de dégradation, puis d’appliquer deux ou trois couches de peinture, le plus souvent acrylique. Cela vaut pour des finitions standard, mais la donne change dès que l’on s’engage dans des travaux de décoration murale avec des faux marbres, des trompe-l’œil, des liserets, etc., des situations qui restent toutefois relativement peu répandues.
Peintures extérieures
La situation se complique pour des travaux de ravalement (cf. Savoir comparer des devis de ravalement de façades peintes), les coûts de fourniture, mais aussi de main d’œuvre, ne sont pas du tout les mêmes, en fonction de la technique mise en œuvre, allant de la simple peinture appliquée en deux couches à une imperméabilité de type I4.
Sur ce dernier point, la copropriété se doit d’être vigilante. Des entreprises peuvent avoir tendance à proposer des techniques inutilement performantes, rentables pour elles, mais coûteuses pour les copropriétaires. Les systèmes d’imperméabilité se justifient en cas de fissures générant des entrées d’eau ou de façade poreuse, ce qui ne représente pas la majorité des cas de figure. De plus, lorsque de tels désordres sont constatés, ils affectent principalement les façades ouest et sud, les plus exposées aux intempéries, aux chocs thermiques. Il est donc parfaitement envisageable de réserver ces techniques coûteuses aux seules façades qui le nécessitent.
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